
Nos conviction en la démocratie et la liberté
Nous sommes convaincus que la théocratie de Velayat-e Faqih, la République islamique d’Iran, est un régime tyrannique, déprédateur et forban.
À moins qu’il ne soit remplacé, nous vivrons sous son joug.Seul un consensus collectif serait le catalyseur nécessaire à la révolte du peuple pour s’unir et se débarrasser du joug de la théocratie et de la religiosité hypocrite.
Mais avant de nous débarrasser des mollahs en politique, en tant que peuple, nous devons apprendre à nous faire confiance. N’ayant pas peur des difficultés, nous devons savoir ce que nous voulons et comment y arriver.
Il est temps de nous mettre tous au travail pour modeler un pays dans lequel il serait doux de vivre pour toutes et tous. L’acceptation de l’égalité et des libertés de pensée, d’expression et d’action est avant tout un état d’esprit.
Nous, les Iraniens, avons vécu génération après génération sous la tyrannie des dictatures et nous nous sommes forgé une mentalité d’irresponsable en politique interne.
Pour découvrir notre potentialité, nous devons d’abord reconnaître nos erreurs et nos défauts en matière sociale et politique.
Nous ériger en victimes perpétuelles ou, pire, en martyrs, est trop facile et lâche. C’est une forme de lavage de cerveau.
Vivre pour aimer notre pays et apprécier nos peuples dans leur diversité est difficile et courageux, digne de respect.
Nous, Albertine Ahmadi et une équipe de correspondants, avons un esprit politique; nous ne sommes pas apolitiques. À notre avis, la démocratie et la liberté d’expression sont exclues de l’islam politique et de la République islamique d’Iran.
Dans ces circonstances, être apolitique est égal à être un déserteur politique, social et même culturel.
Nous sommes convaincus:
- qu’il est impérative de briser toute forme de tyrannie religieuse et de monomanie idéologique.
- que chacun est responsable vis-à-vis de lui-même, de la société et de l’État.
- qu’une démocratie laïque, dans laquelle l’État et la religion sont séparés, est un énoncé clair pour fonder l’État Iranien. Aucun usage religieux ne saurait être prépondérant dans le fonctionnement de l’État.
- que la puissance d’une nation et de ses habitants se mesure par le bien-être de chacun, y compris de ses membres les plus faibles.
- que le pouvoir d’une nation et de son peuple se mesure à son bien-être et à sa diversité. Un people libre est celui qui se souvient de son histoire, est capable de s’en imprégner sans la nier, et apprend de ses erreurs.
- Personne n’est au-dessus de la loi. Les hommes et les femme doivent être égaux devant la loi. Personne ne devra être discriminé par son sexe, origine, race ou ethnie, langue, mode de vie, ses convictions religieuses, philosophiques ou politiques.
- que la population de l’Iran peut vivre ensemble, respectant chacun dans la diversité. La population de l’Iran doit être consciente des buts communs et de ses responsabilités envers les générations futures.
- que la liberté personnelle est inviolable. Chaque Iranien doit pouvoir sans entrave s’instruire, façonner ses opinions, répandre ses idées, oralement et par écrit. Le citoyen iranien doit-être libre de constituer des associations ou de se rassembler sans violence.
- que les instruments de la démocratie, évolutifs dans le temps, doivent refléter l’inspiration et la vision du peuple quant à la façon dont il veut être gouverné. Elles devraient être fondées sur la liberté d’expression, le respect mutuel et le mérite. Il n’existe pas de recette immuable pour les institutions démocratiques.
- que les lois, une fois adoptées directement par les citoyens où indirectement par leurs représentants élus, régit la vie des citoyens.
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