La justice iranienne est basée sur la Charia. Depuis 1979, les tyrans de la Révolution islamique ont introduit et poursuivi la Charia dans la dictature du Velayat-e Faqih.
La réponse du peuple a été le déni des réalités et l’obéissance silencieuse. La justice iranienne réside dans les vastes réseaux de gents corrompus avec un intérêt à maintenir la tyrannie.
La démocratie, avant d’être adopté dans les institutions, est ancrée dans les mentalités. Elle est une force intérieure qui rejette le despotisme à tous les niveaux, domestiques et politiques. Elle est un état d’esprit qui respecte le libre arbitre et le compromis. Elle ne se met pas en place en trichant avec les traditions réactionnaires pour se sentir en sécurité.
La démocratie vient quand la majorité la réclame avec force et agit pour l’obtenir.
La démocratie est construite quand l’empathie et la solidarité remplacent l’apathie, l’égoïsme sectaire et le dogmatisme religieux.
Un Iran démocratique doit encore être conçu et nourri.