
Iranienne de Maurice Bigio
Avec «L’Iranienne» de Maurice Bigio nous vivons la réalité de l’hypocrisie de la dictature théocratique . Le roman de Maurice Bigio est un miroir de la société Iranienne.
Nous grandissons avec le despotisme domestique. Il nous prépare à consentir au despotisme politique en tant que phénomène naturel et à vénérer la figure paternelle du Vali-e Faqih. Le despotisme en Iran est éternel et pérenne. Le despote n’a de force que parce qu’il peut l’ôter à la population.
La tyrannie iranienne, Velayat-e Faqih, reste au pouvoir car elle est soutenue activement par certains et inconsciemment par d’autres.
Avec «L’Iranienne» de Maurice Bigio nous vivons la réalité de l’hypocrisie de la dictature théocratique . Le roman de Maurice Bigio est un miroir de la société Iranienne.
Le nouveau pantin de Khamenei, est Rouhani. Ceux qui ont voté et participé à cette mascarade ont approuvé la dictature. Iran Valse avec Ali Djoun.
Les femmes, le sexe faible en Islam, sont seulement pratiques pour l’arrière court de la société. Les pays musulmans cultivent le machisme du vrai musulman.
La dictature nucléaire est grotesque et sinistre. À l’image de la République Islamique et de sa plèbe. En Suisse, la théocratie grotesque se mue en colonialisme.
Face aux journalistes honnêtes, il existe en Iran un journalisme pourri répandant le mensonge d’état et appliquant la censure. D’eux on parle peu.
En Suisse, au World Economic Forum-Davos, les médias occidentaux présentent H. Rouhani comme un réformateur. Ils adulent le bouffon d’Ali Khamenei.
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