Société, Média, Culture

La culture iranienne persane n’a jamais été qu’un drapeau dominateur signalant les symptômes d’un passé et d’un présent divisés et diviseurs. L’unique facteur de l’unité du pays est la soumission au despotisme persan.
Les diasporas iraniennes sont déconnectées, invisibles, chargées de méfiance et de suspicion. L’Iran est irrigué de sang, ce n’est pas le moment d’être apolitique ou dépeindre un Iran qui n’existe que dans nos mémoires déformées et les récits oraux de la famille.

Les médias iraniens, piteux voire fétides, n’ont aucun sens de l’honnêteté et du courage. Ils ne ressentent aucun sens du devoir envers les lecteurs et la communauté. Leur loyauté va à la propagation des mensonges des ayatollahs.

À la société iranienne manquent les premiers des biens précieux et rares: la liberté et l’exercice du libre-arbitre. Un tyran seul, il n’est pas besoin de le combattre, ni de l’abattre. Il est défait de lui-même pourvu que la société ne consente pas à sa servitude. Il ne s’agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner. Nous avons tout donné à notre guide suprême, Valiy-e Faqih

Une meilleure connaissance du pays et l’acceptation de tous dans la diversité ouvrent le chemin à la solidarité combative pour le bien de tous.

Eugénisme
Addiction

Eugénisme à l’iranienne

Eugénisme en Iran: Stérilisation pour les sans-abri, prostituées et droguées est proposée pour combattre le mal. La théocratie est fascistoïde.

Média la Honte

Propagande des Media en Iran

Les forces du mal sont cachées dans la propagande des Media. Une toile de mensonges mettent en lumière la honte de la désinformation.

Pauvreté et Désespoir, Le dernier souffle, Saïd Naficy
Arrogance

Pauvreté et Désespoir

«Le dernier souffle» de Saïd Naficy, mérite un large public attentif aux pauvreté et désespoir en Iran d’aujourd’hui. Nos mentalités sont-elles si arrêtées?

Khamenei and Army

Iran une Dictature Nucléaire

La dictature nucléaire est grotesque et sinistre. À l’image de la République Islamique et de sa plèbe. En Suisse, la théocratie grotesque se mue en colonialisme.