Salut aux profs assassinés
Mon prof était un homme bon. Les bourreaux de la révolution islamique l’ont exécuté tel un criminel. Salut au profs assassinés.
La culture iranienne persane n’a jamais été qu’un drapeau dominateur signalant les symptômes d’un passé et d’un présent divisés et diviseurs. L’unique facteur de l’unité du pays est la soumission au despotisme persan.
Les diasporas iraniennes sont déconnectées, invisibles, chargées de méfiance et de suspicion. L’Iran est irrigué de sang, ce n’est pas le moment d’être apolitique ou dépeindre un Iran qui n’existe que dans nos mémoires déformées et les récits oraux de la famille.
Les médias iraniens, piteux voire fétides, n’ont aucun sens de l’honnêteté et du courage. Ils ne ressentent aucun sens du devoir envers les lecteurs et la communauté. Leur loyauté va à la propagation des mensonges des ayatollahs.
À la société iranienne manquent les premiers des biens précieux et rares: la liberté et l’exercice du libre-arbitre. Un tyran seul, il n’est pas besoin de le combattre, ni de l’abattre. Il est défait de lui-même pourvu que la société ne consente pas à sa servitude. Il ne s’agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner. Nous avons tout donné à notre guide suprême, Valiy-e Faqih
Une meilleure connaissance du pays et l’acceptation de tous dans la diversité ouvrent le chemin à la solidarité combative pour le bien de tous.
Mon prof était un homme bon. Les bourreaux de la révolution islamique l’ont exécuté tel un criminel. Salut au profs assassinés.
Pour les ayatollahs, leur légitimité n’est que certaine. La légitimité et facétie (pitreries) n’ont jamais tué personne surtout pas les despots religieux.
On peut craindre la prédiction surréaliste de média libre en Iran. La liberté d’expression n’est pas une priorité chez les journalistes.
Avec la bénédiction des ayatollahs, le covid-19, a été autorisé à répandre plus de misère. Que 1399 soit le précurseur d’un nouveau siècle brillant.
Les femmes, le sexe faible en Islam, sont seulement pratiques pour l’arrière court de la société. Les pays musulmans cultivent le machisme du vrai musulman.
Le football fait face à l’islam délétère. Les meilleures choses au monde se partagent, la liberté aussi. Le football peut unir l’Iran si on le veut.
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