
Iran: Valser avec Ali Djoun
Le nouveau pantin de Khamenei, est Rouhani. Ceux qui ont voté et participé à cette mascarade ont approuvé la dictature. Iran Valse avec Ali Djoun.
La culture iranienne persane n’a jamais été qu’un drapeau dominateur signalant les symptômes d’un passé et d’un présent divisés et diviseurs. L’unique facteur de l’unité du pays est la soumission au despotisme persan.
Les diasporas iraniennes sont déconnectées, invisibles, chargées de méfiance et de suspicion. L’Iran est irrigué de sang, ce n’est pas le moment d’être apolitique ou dépeindre un Iran qui n’existe que dans nos mémoires déformées et les récits oraux de la famille.
Les médias iraniens, piteux voire fétides, n’ont aucun sens de l’honnêteté et du courage. Ils ne ressentent aucun sens du devoir envers les lecteurs et la communauté. Leur loyauté va à la propagation des mensonges des ayatollahs.
À la société iranienne manquent les premiers des biens précieux et rares: la liberté et l’exercice du libre-arbitre. Un tyran seul, il n’est pas besoin de le combattre, ni de l’abattre. Il est défait de lui-même pourvu que la société ne consente pas à sa servitude. Il ne s’agit pas de lui ôter quelque chose, mais de ne rien lui donner. Nous avons tout donné à notre guide suprême, Valiy-e Faqih
Une meilleure connaissance du pays et l’acceptation de tous dans la diversité ouvrent le chemin à la solidarité combative pour le bien de tous.
Le nouveau pantin de Khamenei, est Rouhani. Ceux qui ont voté et participé à cette mascarade ont approuvé la dictature. Iran Valse avec Ali Djoun.
Nazi Paikidze-Barnes refuse de participer au championnat d’échecs en Iran. Les femmes en hijab participant au championnat jouent le jeu des ayatollahs.
Face aux journalistes honnêtes, il existe en Iran un journalisme pourri répandant le mensonge d’état et appliquant la censure. D’eux on parle peu.
L’irrespect iranien pour les droits humains est vieux de plusieurs siècles. L’Islam politique est l’application de la Charia en code civile.
Pour la phallocratie, la proximité d’une femme est cause de lubricité chez l’homme. Imposer l’apartheid des sexes, même dans les bus publics est divin.
En Iran, le terme Dahâti دهاتی , villageois-pouilleux-inculte, cul-terreux, en dit long sur le rapport que la société a avec ceux qui travaillent la terre.
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